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Assemblée générale 2025 du CdL
Rapport d'activité 2024
Saviez-vous que le CdL, actif depuis 1964 au service de la qualité au sein de l’agro-alimentaire, ce sont :
- 45 personnes
- 3 services et domaines d’activité : 2 laboratoires d’analyses, 1 service technique et 1 service « certification »
- 10.000 prestations par an sur le terrain, hors analyses
- 1million d’échantillon de lait et d’autres denrées alimentaires
- Plus de 5 millions d’analyses
- 3 accréditations ISO
- L’Agrément des Autorités régionales et fédérales
Contribuant par ces moyens notamment à des relations objectives entre les laiteries et les producteurs pour la détermination du prix du lait, à la qualité du lait produit et récolté en ferme, à la qualité de la production agro-alimentaire, à la qualité de la filière bio, …
Découvrez toutes nos activités dans notre rapport d’activité 2024 complet ou résumé (Faits et chiffres en bref) publié sur notre site via le lien suivant : https://www.cdl-battice.be/index.php/document
Un grand merci à notre personnel sans qui le CdL ne pourrait pas exercer sa mission !
Un grand merci également à nos partenaires et à nos clients pour leur confiance et l’excellente collaboration qui prévaut dans la toute grande majorité des cas !
Foyers de fièvre aphteuse détectés en Europe
Foyers de fièvre aphteuse en Europe
La fièvre aphteuse est une maladie virale. Elle peut infecter les biongulés domestiques et sauvages, comme les porcs, les bovins, les ovins et caprins, les sangliers et les cerfs. La maladie cause des problèmes de santé graves chez les animaux infectés et s’accompagne d’un impact économique très important.
Le 10 janvier 2025, un foyer de fièvre aphteuse était identifié en Allemagne. Ce foyer a depuis pu être éradiqué et l’Allemagne pourra retrouver son statut indemne auprès de l’Organisation mondiale de la Santé animale en avril 2025.
Malheureusement, en mars plusieurs autres foyers de fièvre aphteuse ont été identifiés en Hongrie et Slovaquie :
- 6 mars : une exploitation de vaches laitières en Hongrie, près de la frontière slovaque ;
- 21 mars : 3 exploitations bovins en Slovaquie, dont une située dans la zone de surveillance du foyer hongrois ;
- 25 mars : une exploitation bovine en Slovaquie, située dans la zone de surveillance des foyers précédents ;
- 26 mars : une exploitation de vaches laitières en Hongrie, à 40 km du 1er foyer
Après le 1er foyer, la Hongrie avait mis en place des mesures de contrôle strictes y compris des restrictions de mouvements jusqu’au 17 mars. Jusqu’à l’identification du nouveau foyer tous les tests réalisés s’étaient révélés négatifs. Le deuxième foyer est situé à 40 km du 1er foyer et la zone de surveillance mise en place par les autorités recouvrent une partie du territoire autrichien.
La Slovaquie a mis en place les mesures de contrôles supplémentaires suivantes : interdiction de transport des espèces sensibles sur son territoire (y compris pour exportation). Interdiction de transit via les zones concernées. Le transit via le reste du territoire n’est autorisé que s’il n’y a pas d’arrêt en Slovaquie. Interdiction des rassemblements tels que marché, concours, etc. De plus des mesures accrues de biosécurité sont en place. Une vaccination d’urgence sera également mise en place dans certaines foyers en attendant l’abattage.
Les autorités vétérinaires de ces deux pays mettent tout en œuvre pour empêcher la propagation de la maladie.
Mesures en Belgique
Les premier résultats de traçabilité montrent qu’aucun animal sensible n’a été introduits en Belgique depuis la Hongrie ou la Slovaquie durant la période à risque.
Si les autorités hongroises et slovaques nous informaient que malgré tout des animaux à risque avaient été envoyés en Belgique, ces animaux seraient immédiatement retracés pour être contrôlés et les exploitations où ils sont détenus seraient bloquées temporairement en attendant les résultats de l’enquête.
Il est toutefois plus que jamais indispensable de rester vigilants :
- les suspicions doivent faire l’objet d’une notification obligatoire. En cette période d’inactivité des vecteurs, les symptômes de fièvre catarrhale ovine doivent plutôt orientés le diagnostic vers une autre maladie !
- les règles de biosécurité doivent être strictement respectées, y compris par les transporteurs d’animaux qui transitent par les pays à risque ;
- les voyageurs en provenance de pays tiers ou de zones à risque ne doivent pas emporter de produits d'origine animale dans leurs bagages ;
- il est interdit de donner des déchets de cuisine, notamment aux animaux sensibles ;
- les animaux introduits en Belgique à partir d’un autre pays doivent être accompagnés d’un certificat sanitaire signé par le vétérinaire officiel du pays d’origine. Ce certificat atteste que l’animal ne présente pas de signes cliniques de maladies contagieuses mais aussi qu’il ne provient pas d’une zone à risque (https://favv-afsca.be/fr/news/importation-illegale-de-moutons-et-chevres-en-belgique-signifie-mise-en-danger-du-betail-belge).
Aucune mesure de restriction n'est donc d'application en Belgique.
Fiche Info sur la maladie : https://favv-afsca.be/sites/default/files/2023-11/20170304_Fievreaphteuse_FR.pdf
Le CdL suit la situation de près et continue actuellement "normalement" ses activités d'audits et techniques en ferme.
MILCHERZEUGER und -PRODUKTION 2014-2024
Die Vorbereitung unseres Tätigkeitsberichts 2024 bietet die Gelegenheit, die Entwicklung der Anzahl der Milcherzeuger und der Milchproduktion im Jahr 2024 und in den letzten zehn Jahren erneut zu beleuchten.
Ohne die Veröffentlichung unseres Berichts 2024 abzuwarten, hier schon einmal die Ergebnisse :
Die Anzahl der Milchviehbetriebe ist im Jahr 2024 um weitere 4,5% gesunken, eine Abnahme von 2390 Betrieben Ende 2023 auf 2282 Betriebe Ende 2024.
Innerhalb von 10 Jahren, zwischen Ende 2014 und Ende 2024, sank die Zahl der Milchviehbetriebe in Wallonien von 3335 auf 2282, was einem Rückgang um 31,5% entspricht.
Die durchschnittliche Milchproduktion pro Betrieb betrug im Jahr 2024 etwas mehr als 541.000 Liter pro Betrieb, ein durchschnittlicher Anstieg um 10.000 Liter im Vergleich zu 2023 oder fast 1,9%.
In den letzten 10 Jahren betrug der durchschnittliche Anstieg mehr als 160.000 Liter/Betrieb/Jahr, d. h. mehr als 42 %!
Die gesamte in wallonischen Betrieben gesammelte Milchproduktion betrug 2024 1,275 Milliarden Liter, was einem Rückgang von über 31 Millionen Litern im Vergleich zu 2023 oder knapp 4% entspricht.
Im Zehnjahresvergleich liegt die Gesamtproduktion in der gleichen Größenordnung wie 2014, hat sich aber im Laufe der Zeit verändert.
Weitere Einzelheiten finden Sie über unseren Newsletter vom Februar 2025.
Blauzungenkrankheit und Milchprod. im Jahr 2024
Wir haben unsere Analyse für das letzte Quartal 2024 fortgesetzt. Sie finden sie in unserer Dezember-Nachricht über den unten stehenden Link.
Die Schlussfolgerungen lauten wie folgt:
Die Milchproduktion, die im August deutlich gesunken war, und die Zellzahlen in der Milch, die zur gleichen Zeit insgesamt besonders schlecht waren, verbesserten sich rasch.
Bei den Zellen war die Situation wieder ähnlich wie in anderen Jahren.
Die durchschnittliche Produktion pro Betrieb blieb jedoch hinter den Erwartungen zurück, die aufgrund des Anstiegs in der ersten Jahreshälfte zu erwarten waren.
Andere Faktoren als die Blauzungenkrankheit, wie die Qualität des Futters, könnten ebenfalls die Ursache für die Situation in den letzten drei Monaten gewesen sein